POURQUOI ON JOUE
Nous croyons en la puissance du jeu vidéo pour promouvoir la paix et lutter contre la violence dans notre société.
SF2 soutient la recherche en régénération des tissus pour offrir une alternative éthique à la souffrance des animaux d’élevage.




R&D
PLAY
⚠️ AVERTISSEMENT — STEAK FRITER 2 : La guerre n’est pas un jeu
Chers joueurs et joueuses,
Dans STEAK FRITER 2, les combats entre plats (tacos, kebabs, burgers…) sont une fiction ludique.
Ici, les ennemis sont des aliments : leur défaite est symbolique, créative et sans conséquences.
💥 Les conflits détruisent des vies :
Les humains et les animaux ne sont pas des cibles à “éliminer”.
On ne “mange” pas ses ennemis, et on ne guérit pas les blessures avec une partie remportée.
🕊️ Notre engagement :
Ce jeu promeut l’absurdité humoristique des affrontements culinaires, pour dénoncer l’absurdité bien réelle des violences humaines.
Si le jeu vous amuse, qu’il vous inspire aussi à choisir le dialogue, la compassion et la paix.
Car contrairement à nos burgers pixelisés…
Les vies brisées par la guerre ne se régénèrent pas.
"Jouons à combattre la faim, pas les humains".
🌱 Respecter les animaux, c’est respecter la vie et lutter contre la Malbouffe
Produire sa propre nourriture, c’est reprendre le pouvoir… mais aussi prendre ses responsabilités.
Les animaux ne sont pas des objets, ni des machines. Ce sont des êtres sensibles.
En les élevant avec respect, en réduisant leur souffrance, on construit un monde plus juste.
🧀 L’autoproduction, c’est connaître ce que l’on mange.
🐓 C’est offrir une vie digne à ceux qu’on élève.
🔬 C’est pourquoi STEAK FRITER 2 soutient la recherche en régénération des tissus :
Pour imaginer un futur où nos animaux de compagnie seraient aussi nos partenaires nourriciers
où l’on pourrait prélever un peu de leur chair sans jamais les tuer.
Un monde où un animal qui boite, se régénère doucement, et continue à vivre, aimé, respecté, et… savoureux.
C’est étrange, c’est beau. Et c’est possible.
"Un monde sans cruauté, ça commence dans ton assiette".
